Jeunesse aux Cœurs Ardents

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La vente est au profit de la Maison du Légionnaire …avec un grand merci à Madame Cheyenne CARRON pour sa bienveillance !

Un Film Absolument Magnifique ! Beau, Harmonieux et Fluide…

Jeunesse aux Cœurs Ardents

Long Métrage de Cheyenne Carron

Le Sujet…                     A jamais fidèle 

Henri, un capitaine qui a commencé sa carrière comme légionnaire, ancien d’Indochine et de l’Algérie, est braqué à la sortie d’une banque. Droit dans ses bottes, le canon d’une Kalachnikov sur le ventre, il s’exécute, puis recule lentement, son regard braqué sur son braqueur.

La scène a fasciné David, l’un des voyous auteurs de ce mauvais coup. Il n’habite pas loin de l’ancien. Il le revoit. Un échange se noue. David est un étudiant assez brillant. Ses rapports à ses parents, d’anciens soixante-huitards embourgeoisés, sont tendus. Il honnit une société sans repères, il est en quête d’absolu.

La fréquentation d’Henri va lui apporter ce qui lui manque. Progressivement, une fidélité se noue entre l’ancien et le jeune, le premier lui évoquant la vie de combattant, la chaleur de la compagnie d’hommes, l’honneur du guerrier.

Un soir, alors qu’il rentre chez lui, deux hommes assis l’attendent dans le salon de ses parents. Il les voit se lever ; ils portent l’habit du dimanche, à leurs regards, il comprend. Henri est mort. Quelques semaines plus tôt, il avait été victime d’un AVC. David était là, il l’avait sauvé.

Quelques jours plus tard, marqué à vie par ce que l’ancien lui a transmis, David se présente devant un recruteur de la Légion : « Pourquoi voulez-vous entrer à la Légion étrangère ? – Ben voilà, j’ai fait de bonne études (…) Je viens d’une famille plutôt bourgeoise, pas de problèmes d’argent (…) Mais…mais (…) Je veux donner du sens à ma vie. »

 

| Ref : 1105 | Date : 26-02-2018 | 8343